mardi 6 janvier 2009

Lesbienne Erotique !


Ce soir, on fera l’amour ma chérie… Ce soir J’allumerai toutes tes flammes et j’éteindrai toutes les bougies, et je fondrai mes lèvres comme de la cire sur ton corps, et tu m’allumeras encore et encore…

Douce créature, peau de soie, chaleur immense… les baisers se posent là et là bas, un peu partout, et je dessine sur ton visage tous mes désirs et mes envies… Tu t’approches ; ton corps tremble ; tes yeux rayonnent ; ta chaleur remonte et j’attends, j’attends le bon moment pour te mordre le cou, te griffer la peau, et te saisir avec force et te saisir avec douceur ; j’attends ; j’attends, l’éruption d’un volcan… Femme douce… Femme sauvage… Femme Flamme…

Mes mains caressent ton corps ; mes mains adorent ces courbes et ces rondeurs… Plus belle sculpture du plus doué sculpteur… L’art c’est toi, la beauté aussi… Je te caresse encore et encore, et tu brûle encore et encore et les désires me brûlent encore et encore, et je fonds ; je me dissous et mes envies remontent encore et encore…

Prés de tes lèvres, j’aspire tes souffles, et je sens ton âme s’approcher petit à petit, encore et encore; je ne pense qu’à pénétrer cet âme, se perdre là dedans, te voler la vie, te voler l’âme, te prendre entière en moi, te prendre avec douceur, te prendre avec force, te prendre et te garder, ce soir, et l’éternité…

Un baiser… Tu trembles encore et encore… Un baiser… Tu commences à perdre conscience, et je commence à retrouver mon chemin… Un baiser… Je saisis ta lèvre inférieure ; je la prends entre mes deux lèvres… C’est si bon de t’embrasser… Femme délicieuse, au goût piquant mais aussi doux, goût fort, goût raffiné, goût unique… Ma langue tourne ; elle danse ; et je ne sais pas ; je ne sais plus ; est-ce moi qui est entrain de te suivre ? Ou est-ce toi qui est entrain de mener la danse ? Je me perds ; je perds ma tête ; et je perds mon corps, et je perds mon souffle ; et je te désire encore et encore….

Mon sang circule de plus en plus vite ; et je ne sais plus si c’est le sang ou si c’est toi… T’es dans mes veines ; tu circules en moi ; et je te veux encore et encore… Entre deux seins ma tête se pose ; mes doigts jouent une musique douce, une musique folle, sur ta poitrine ; je pince ; je caresse ; j’embrasse ; je suçote ; je tête ; je mord ; et j’écrase ; je relâche et tu te lâches, et je me lâche… Mes mains dansent encore… mes doigts jouent cette musique encore et encore partout sur ton corps…

Sur ton ventre, mes désirs prennent feu ; ce n’est plus de la chaleur ; c’est presque un incendie… Un peu plus bas… Encore plus bas… Mes lèvres cherchent ton mystère : Ce qu’on cache le mieux, c’est qu’il y a de mieux… Ce n’est plus la même chair ; ce n’est plus la même odeur… J’écarte tes jambes et j’explore encore et encore… Mes mains jouent encore et encore sur ta peau… avec ces courbes, et avec ces formes… Plus céleste sculpture du plus grand sculpteur… Je me perds et je persiste encore et encore…

Jambes écartées… La reine ouvre les portails de son palais… Un clitoris, un diamant… Deux lèvres et mes lèvres, et tes lèvres, et encore et encore et encore… Et j’explore, et je cherche… ton plaisir, avant le mien, et je me perds et tu me guides ; ton souffle me guide, tes gémissements, tes frissons, tes mouvements… Me voilà pénétrant pour explorer encore et encore, un tunnel qui mène au trône peut être, sûrement, ce muscle qui se relâche, et ce portail qui s’ouvre, et cet inondation qui m’inonde, et ces eaux et ce miel qui coule, et ce royaume qui se dévoile… encore et encore… et tes gémissement qui pénètrent mon ouïe encore et encore, et ta voix qui hurle encore et encore… et ce corps qui s’agite encore et encore, et cette chaleur qui remonte encore et encore… et cette flamme qui brûle encore et encore… et encore et encore… Ma femme encore et encore… Ma flamme encore et encore… Encore…

Jouissance, plaisir, satisfaction, délice, orgasme… Jambes écartées, royaume conquis, une paix… Mais comme César, je n’aime pas la paix… Je te referai la guerre encore et encore… avec force, avec douceur, toi et moi, le pacte de paix ne dure jamais !

-Faithinlove-

10 commentaires:

BILLY a dit…

XD

BILLY a dit…

http://www.blogger.com/profile/16329623300836601752

cé le lien du profil dont on a parler hier

bella_ragatsa a dit…

ça fait chauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuud !

Faithinlove a dit…

ouiiiiiiiiiiiiiiiii c'est chaud!!!!

BILLY a dit…

cé brulant mém!!! mdrrrrrrrrrr

bella_ragatsa a dit…

tu m'apprendras alors? g pas d'expérience moi chui encore en premiere année primaire d'homosexualité

BILLY a dit…

tu parle a ki là!!!!mdrrrr

bella_ragatsa a dit…

pas à toi surement à moins que tu sois une fille! mdr

BILLY a dit…

euhhhhhhhh!!!! mahou 7addéd chkoun (prkoi il ya pa "citer" sur ce blog)XD

nvp a dit…

J'ai parcouru les pages, j’ai lu vite, lentement, sauté des passages, mes expressions au visage changeaient. Un coup sourcils froncés, un autre, sourire aux lèvres et puis j’ai lu le titre, je me suis arrêtée, mes yeux l’ont fixé et je l’ai activé…
J’ai commencé, une petite boule surgi soudainement de mon cerveau, j’avais sommeil et je ne savais plus si c’était son effet ou celui de l’ivresse du plaisir. J’étais ‘elle’, j’étais ‘toi’, j’étais dessous, j’étais dessus, la petite boule s’était frayée un chemin dans mon corps, mes bras devenaient lourds et mes jambes suivaient, la boule parcourait mon ventre, elle montait, descendait, mon doigt activait le bouton qui me permettait de descendre encore plus bas… dans la page, page que je n’ai pu m’empêcher de parcourir avant de lire pour estimer « la durée du plaisir », l’intensité devenait plus grande, mes sens étaient au service de la petite boule, boule qui s’est glissé encore plus bas. Ma respiration s’accélérait, mes muscles se crispaient et mes yeux dévoraient les dernières phrases, ma tête me soufflait, « c’est presque la fin », elle a tout gâché.
Je lisais mais ne ressentais plus rien, relisais mais ne comprenais plus rien, me concentrais mais de brève et trompeuses étincelles m’ont traversé le corps pour s’éteindre pour ce soir à jamais… Encore une fois, ma tête a triomphé…
Une autre envie me prenait, une envie plus forte, plus envahissante, qui m’a dernièrement quitté, une envie de t’écrire, te décrire, comment tu m’as presque fait jouir… Un mot, tu m’inspires !
F.